Découverte d’une faune insulaire tropicale au cœur de la Roumanie: une épopée paléontologique et homosexuelle au XXe siècle

Nopcsa habillé en soldat Shqiptar (circa 1913, restauré et recolorisé par Dacian Muntean)

Il y a des vies plus palpitantes que d’autres. L’une d’entre elles a commencé le 3 mai 1877, date à laquelle né le baron Franz Nopcsa von Felső-Szilvás à Déva, en Transylvanie, alors partie intégrante de l’Empire austro-hongrois (aujourd’hui en Roumanie). En plus de ses activités et découvertes géologiques et paléontologiques, il se passionne pour l’Albanie (dont il cartographiera la géologie du Nord) grâce son premier amour, le comte Louis Drašković[1], au point d’y vivre durant plusieurs longues périodes et en devenir un véritable expert reconnu. Le baron aventurier est aussi, tour à tour, espion, otage, résistant aux côtés des nationalistes albanais, auteur du premier détournement d’avion et prétendant au trône de la récente Albanie en 1912, accompagné à partir de 1906 de l’amour de sa vie, l’écrivain et photographe ethnographique albanais Bajazid Elmaz Doda. Il nomme une espèce de tortue éteinte en son hommage Kallakobotion bajazidi, « la belle boite de Bajazid », d’après la légende parce qu’elle lui rappelle la forme des fesses de son amant[2]. On retient surtout deux paroles de Nopcsa à propos de son homosexualité. La première particulièrement touchante qu’il écrit à propos de Doda. « [Il] a été la seule personne qui m’a vraiment aimé et en qui j’avais pleinement confiance, sans jamais douter un instant qu’il abuserait de ma confiance »[3].  La seconde nettement plus camp à propos de sa potentielle arrivée au pouvoir en Albanie : « Une fois monarque européen régnant, je n’aurais aucune difficulté à réunir les fonds supplémentaires nécessaires en épousant une riche héritière américaine aspirant à la royauté, une démarche que, dans d’autres circonstances, j’aurais été réticent à franchir »[4].

Intérêt précoce pour la paléontologie

C’est en 1895 que va naître son intérêt pour les fossiles grâce à la découverte d’ossements par sa sœur Ilona[5] dans le crétacé du bassin de Hateg situé sur la propriété familiale. Il montre les fossiles au géologue autrichien Eduard Suess (à l’origine des découvertes de la mer Téthys et du supercontinent Gondwana) qui lui conseille de les décrire lui-même. Nopcsa, jeune étudiant en géologie, s’exécute et les identifie comme ceux d’une nouvelle espèce qu’il nomme d’abord Limnosaurus transsylvanicus avant de la corriger en Telmatosaurus transsylvanicus[6] en 1903. Il présente le crâne devant l’Académie de Vienne à seulement 22 ans[7] [8] [9].

Nanisme insulaire[10]

Cette identification ne marque que le début d’une étude poussée du registre fossile transylvanien. Acquis aux idées de Darwin sur l’évolution, Nopcsa envisage les fossiles comme un tout complexe impliquant les ossements, le contexte de fossilisation et le type de fossilisation comme sources d’informations témoignant de la vie de l’animal. Ainsi, il remarque que les espèces de dinosaures qu’il découvre en Transylvanie sont plus petites que d’autres espèces auxquelles ils sont fortement apparentés. Il qualifie même ces petits dinosaures d’appauvris et de dégénérés[11]. Cette démarche d’analyse « objective » des restes fossiles, le fait de prendre en compte toutes les données y compris les moins « glorieuses », n’est pas forcément la norme à une époque où la paléontologie peut être utilisée à des fins nationalistes. On pense notamment à l’épisode Buffon contre Jefferson[12][13] mais les exemples sont bien plus nombreux.

Croquis de Struthiosaurus transylvanicus provenant d’un carnet de Nopcsa (© NHM)

Pour exemple, le titanosaure Magyarosaurus dacus ne mesure que 6 mètres alors que les autres espèces mesurent de 15 à 20 mètres, voire jusqu’à 30 mètres[14]. Le sous-sol roumain parle encore puisqu’en 2022, c’est Transylvanosaurus platycephalus, un nouvel ornithopode ne mesurant que 2 mètres, qui a été découvert et nommé[15]. Nopcsa rapproche cette petite taille de celle des éléphants nains des îles méditerranéennes. Ces éléphants, sous la pression de ressources alimentaires plus rares et de prédateurs moins présents, sont devenus nettement plus petits que les espèces continentales. On parle de nanisme insulaire. Aujourd’hui, on connait même ce phénomène chez l’humain avec homo florensiensis[16].

Cette particularité anatomique est tout à fait corroborée par le contexte géographique de la fin du Crétacé. A cette époque, selon Nopcsa, la mer Tethys recouvre l’Europe en grande partie, ne laissant dépasser que quelques îlots. Nopcsa nomme l’hypothétique île sur laquelle il aurait retrouvé les fossiles Hátszeg. Restée sans commentaire pendant des décennies, cette hypothèse est aujourd’hui validée[17]. Si l’Europe du Jurassique faisait partie d’un supercontinent, il s’agit d’un archipel durant le Crétacé[18]. L’île Hátszeg (aujourd’hui orthographiée Hațeg, voire Hateg) semble avoir été un point particulier du globe, pont fragmenté entre l’Europe et le bloc Asie-Amérique du Nord[6] dont le paléontologue Tim Flannery tente d’en décrire les paysages.

C’est la fin d’un somptueux automne. Le soleil brille de façon rassurante, quoi qu’à cette latitude, il soit plutôt bas dans le ciel. La température de l’air est tropicale et les fins grains de sable blanc d’une plage étincelante crissent sous nos pas. La végétation qui s’étend autour de nous consiste en un mélange d’arbustes bas et fleuris. Plus loin, des fougères et des bosquets de palmes dominent, sous le couvert de ginkgos dont le feuillage automnal doré paraît prêt à se détacher à la première bourrasque d’un hiver clément. Des montagnes alentour descendent de larges vallées : elles portent les stigmates d’une importante érosion, signe que les précipitations varient fortement en fonction des saisons.

Sur la crête aride, nous apercevons des géants de la forêt qui ressemblent à des cèdres du Liban. Ce sont effectivement des cyprès, qui appartiennent au genre désormais éteint Cunninghamites. Plus près de nous, un étang bordé de fougères se pare de mille nénuphars. Il reflète la silhouette d’arbres qui ressemblent d’une façon frappante aux platanes londoniens (genre Platanus). Non sans raison : les nénuphars et les platanes ont survécu au temps, et l’Europe compte un nombre surprenant de « dinosaures végétaux » de ce type.

Notre œil passe des terres à la mer azur, s’attarde sur la plage, parsemée de ce qui ressemble de prime abord à d’étranges pneus de camion opalescents, prolongés par des fils torsadés. Ils brillent d’une beauté insolite sous le soleil tropical. Quelque part au large, une tempête a tué un banc d’ammonites […] et les vagues, le vent et le courant les ont déposées sur la grève de Hateg.

Alors que nous marchons sur le sable scintillant, une odeur nauséabonde étreint nos narines. Une masse énorme, incrustée de coquillages, est échouée devant nous. La bête ne ressemble à aucun animal d’aujourd’hui : c’est un plésiosaure. Les quatre nageoires qui le propulsaient avec efficacité gisent maintenant sur le sable. Le corps, en forme de tonneau, est prolongé par un cou démesuré, au bout duquel se trouve une petite tête, encore ballottée par les flots.

Trois silhouettes gigantesques, qui font penser à des vampires drapés dans des manteaux en cuir, chacun d’entre eux de la taille d’une girafe, sortent soudain de la forêt. L’œil mauvais, tous muscles dehors, le trio entoure la carcasse, que le plus grand décapite sans effort de son bec de trois mètres de long. Puis, à féroces coups de bec, les charognards commencent leur diner.[19]

Vue d’artiste de la faune d’Hateg à la fin du Crétacé (© PaleoPete, 2022)

Les dinosaures, des animaux comme les autres

Lorsque de petits individus sont découverts, la question qui suit est toujours la même : sont-ils des juvéniles ou seulement de petits individus ? Nopcsa sait comment répondre à cette question mais il semble qu’il n’ait pas trouvé utile d’appliquer sa technique pour appuyer sa théorie du nanisme insulaire transylvanien (ou n’ait pas eu le temps). En effet, quelques années avant de mourir, il met au point une méthode permettant de situer le stade et la vitesse[20] de croissance des dinosaures en observant de fines lamelles d’os au microscope[21]. Le principe est sensiblement le même que pour les arbres. Cette méthode lui permit de reconnaitre un hadrosaure juvénile là où d’autres voyaient une nouvelle espèce. Ces questions sont toujours d’actualité[22] et cette méthode paléohistologique est toujours utilisée. Quelques années auparavant, l’archéologue, naturaliste et futur membre de l’Ahnenerbe (l’institut de recherche de la Waffen-SS) Jean-Jacques dit « Johannes » Thomasset avait commencé à utiliser son microscope pour observer, décrire et tenter de classer différents taxons de poissons fossiles suivant la microstructure dentaire des fossiles[23].

Des questions intelligentes, Nopsca s’en est posé beaucoup. En appréhendant les dinosaures comme des animaux comme les autres, vivants, se déplaçant, socialisants, il développe des raisonnements originaux pour l’époque tentant de remettre des muscles sur les os fossiles[24], interrogeant la protection parentale chez les dinosaures[25], la place du dimorphisme sexuel chez les dinosaures[26] ou l’origine terrestre du vol chez les oiseaux et leur parenté avec les dinosaures[27] qui sont aujourd’hui largement acceptés par la communauté scientifique.

Un stégosaure à Octeville[28]

La liste des découvertes paléontologiques majeures effectuées sur la côte normande est conséquente. Celle effectuée par Emile Savalle (1834-1902) dans le Kimmeridgien d’Octeville en avril 1898 en fait partie. Ce sont des ossements fossilisés de grande taille que le paléontologue havrais, qui s’est notamment distingué par son utilisation de la photographie dans la discipline, met au jour. Le tout récent Museum du Havre (inauguré en 1881 sur les bases d’un musée-bibliothèque inauguré en 1845[29]), représenté par le géologue Gustave Lennier, organise des fouilles avec la participation de Savalle. Ces fouilles, ça n’est pas commun à l’époque, sont documentées par des croquis, une aquarelle d’Arcade Noury et des photographies de Savalle[30].

Il semblerait que l’excavation des ossements n’ait pas été faite aussi soigneusement qu’on aurait pu l’espérer. Les os sont en morceaux mais la découverte est publiée en 1899 dans le Bulletin de la Société géologique de Normandie. De par leur état, les ossements sont difficiles à identifier. Lennier pense y voir un animal très proche des Iguanodon bernissartensis découverts en nombre et complets au fond d’une mine en Belgique en 1878[31], mais cherche de l’aide auprès de la communauté paléontologique experte. Le professeur de paléontologie du Museum national d’Histoire Naturelle de Paris, Albert Gaudry, propose son aide en l’échange des ossements fossiles pour la galerie de paléontologie du musée parisien. Lennier, à l’origine du Museum havrais, refuse. C’est la deuxième fois que Gaudry se voit refuser des ossements d’iguanodons. Quelques années auparavant, lorsqu’il avait essayé d’obtenir un squelette de Bernissart, les belges y avaient vu une atteinte à leur patrimoine national. Le Museum parisien avait donc reçu un moulage en plâtre. C’est étonnant comme on voit plus facilement la spoliation chez soi que chez les autres, comme au Congo par exemple.

Museum du Havre en 1904 (illustration extraite du Petit guide illustré du visiteur de Gustave Lennier (1904))
Arcade Noury, Gustave Lennier et le Père Mallet libérant les os à Octeville (Photo prise par Savalle et publiée par Yves Lepage en 2010)[30]

Quoi qu’il en soit, Gaudry n’apportera aucune aide dans cette histoire. C’est le jeune Nopcsa, doctorat de géologie en poche depuis 1903, qui décrit les ossements en 1911 dans le Bulletin de la Société géologique de Normandie. L’animal, contrairement à ce qui est indiqué au Museum du Havre[32], n’est pas un iguanodon. « Ces vestiges précieux méritent par leur importance d’être considérés comme la pièce de résistance de ce musée, car ils comptent parmi les plus beaux restes de dinosauriens trouvés en France et représentent, en outre, une nouvelle espèce de Stégosaurien »[33]. Il attribue ce stégosaure au genre Omosaurus et il nomme l’espèce Omosaurus lennieri, en hommage à son « découvreur » Gustave Lennier. Comme souvent[34], on peut se poser la question de la légitimité de Lennier à être reconnu ainsi, mettant dans l’ombre son véritable découvreur, Savalle. Nopcsa n’était pas nécessairement au courant des conditions de découvertes des fossiles et n’a jamais connu Savalle de son vivant. Il semblerait que cette dénomination ait émue localement mais une fois publiée, l’espèce ne peut être renommée. Les ossements ont été détruits lors d’un bombardement en 1944. L’espèce est aujourd’hui considérée comme synonyme de Dacentrurus armatus (Owen, 1875)[35].

Cette découverte et sa publication sont une belle photographie de ce dont est capable la paléontologie de ce début de siècle. Les fouilles sont appuyées par le museum local, la publication comprend un récit du contexte et du déroulé des fouilles, appuyés par photographies et dessins, l’identification est faite par un paléontologue étranger apportant ses lumières et en s’appuyant sur la littérature détaillée internationale, Angleterre et Amérique du Nord, où des fossiles similaires ont été mis au jour. Une première pour un dinosaure normand selon le paléontologue Eric Buffetaut[36].

Une vie qui laisse plus ou moins de traces

Au cours de sa vie il marquera la paléontologie en décrivant et nommant plusieurs dizaines de taxons :

Fossile d’Askeptosaurus italicus (Museo civico di storia naturale)
  • dinosaures ornithischiens (Thyreophora (1915) , Struthiosaurinae (1923)) ;
  • reptiles (Poposauroidea (1923), Pachypleurosauroidea (1928), Pachypleurosauridae (1928)) ;
  • reptiles marins (Askeptosaurus (1925), Askeptosaurus italicus (1925), Rhomaleosauridae (1928), Thalattosauroidea (1928)) ;
  • ankylosauriens (Struthiosaurus transylvanicus (1915), Scolosaurus (1928), Scolosaurus cutleri (1928)) ;
  • ornithopodes (Zalmoxes robustus (1900), Telmatosaurus (1903), Telmatosaurus transsylvanicus (1903)) ;
  • synapsides (Neosaurus (1923)) ;
  • théropodes (Teinurosaurus (1928), Coelophysidae (1928)) ;
  • ptérosaures (Anurognathidae (1928), Ctenochasmatidae (1928)) ;
  • thérapsides (Chainosauria (1923), Geikiidae (1923) ) ;
  • stégosauriens (Loricatosaurus (1911), Loricatosaurus priscus (1911), Paranthodon (1929), Paranthodon owenii (1929)) ;
  • cératopsiens (Leptoceratopsidae (1923)) ;
  • eupélycosaures (Ophiacodontidae (1923)) ;
  • sauropodes ((Magyarosaurus dacus (1915) et Nopcsaspondylus alarconensis dont il décrira le fossile sans le nommer)[37]) ;

ainsi que l’infra-ordre de serpents actuels Alethinophidia (1923). Les taxons Lotosaurus adentus (Nopcsa, 1928)[38] et Lycosuchidae (Nopcsa, 1923)[39] ne semblent pas faire l’unanimité quant à leur utilisation. Une espèce de théropodes est nommée en son honneur, Elopteryx nopcsai (Andrew, 1913).

Doda et Nopcsa (circa 1931, © Magyar Természettudományi Múzeum)

Bien que particulièrement remplie, sa vie s’arrêtera le 26 avril 1933. Malgré une vasectomie unilatérale du Dr Steinach censée restaurer force et jeunesse[40], Nopcsa est partiellement infirme[41], dépressif et a perdu ses sources de revenus à la chute de l’Empire d’Autriche-Hongrie. Il drogue son compagnon Doda avant de lui tirer une balle dans la tête. Il retourne l’arme contre lui, justifiant ses actes par une lettre.

La raison pour laquelle j’ai abattu mon ami et secrétaire de longue date, M. Bayazid Elmas Doda, dans son sommeil sans qu’il s’en doute du tout, c’est que je ne voulais pas le laisser malade [d’alcoolisme[42]], dans la misère et sans un sou, car il aurait trop souffert.[43]

La pièce où Nopcsa s’est suicidé est aujourd’hui une agence immobilière[44]. Malgré une vie on ne peut plus romanesque et des avancées scientifiques majeures, son nom est inconnu par l’immense majorité d’entre nous. Sa sexualité en est-t-elle la cause ? Nopcsa ne serait certainement pas heureux dans la Transylvanie roumaine actuelle. Je ne suis pas sûr non plus qu’il aurait aimé qu’on déguise ses histoires d’amour en bromances[45]. Aujourd’hui, Dacian Muntean et sa compagne Laura Vesa, tentent de sortir Nopcsa de l’oubli, en soulevant des fonds publics roumains (rares) pour restaurer le château délabré de sa jeunesse et en faire un centre de recherche scientifique[46]. En 2016, c’est un film bien mystérieux qui porte la vie de Nopcsa à l’écran, DODA: The Life and Adventures of Franz Baron Nopcsa par et avec Visar Vishka[47].


[1] Tim Flannery, Le supercontinent : une histoire naturelle de l’Europe (Flammarion, 2019), p. 33

[2] Wikipédia, Franz Nopcsa von Felső-Szilvás (en)

[3] Wikipédia, Franz Nopcsa von Felső-Szilvás (en)

[4] Wikipédia, Franz Nopcsa von Felső-Szilvás (en)

[5] Eric Buffetaut, Chercheurs de dinosaures en Normandie (YSEC, 2011), p. 84

[6] Gareth Dyke, Les dinosaures nains de Transylvanie (Pour la science, 411, janvier 2012)

[7] Eric Buffetaut, Chercheurs de dinosaures en Normandie (YSEC, 2011), p. 84

[8] Wikpédia, Telmatosaurus (fr)

[9] Wikipédia, Ferenc Nopcsa (fr)

[10] Gareth Dyke, Les dinosaures nains de Transylvanie (Pour la science, 411, janvier 2012)

[11] Tim Flannery, Ibid, p. 41

[12] Eric Buffetaut, La faune dégénérée de l’Amérique : Buffon contre Jefferson, in Mémoires de naturalistes (Cavalier Bleu, Espèces, 2018), p. 73-80

[13] Allain Bougrain-Dubourg, Buffon contre Jefferson (France Inter, 2016)

[14] Wikipédia, Titanosauria (fr)

[15] Brice Louvet, Un nouveau « dinosaure nain » découvert en Transylvanie (SciencePost , 2022)

[16] Cyril Langlois, Homo floresiensis : un homininé nain contemporain d’Homo sapiens (2005)

[17] Zoltán Csiki-Sava, Eric Buffetaut, Attila Ősi, Xabier Pereda-Suberbiola & Stephen L. Brusatte, Island life in the Cretaceous – faunal composition, biogeography, evolution, and extinction of land-living vertebrates on the Late Cretaceous European archipelago (Zookeys, 2015)

[18] Tim Flannery, Ibid, p. 43

[19] Tim Flannery, Ibid, p. 28-29

[20] Tim Flannery, Ibid, p. 42

[21] Gareth Dyke, Les dinosaures nains de Transylvanie (Pour la science, 411, janvier 2012)

[22] Noé Ciscki, John Hatcher a-t-il découvert un dinosaure qui n’existe pas ? (2023)

[23] Eric Buffetaut, « Johannes » Thomasset : des poissons fossiles à la Bourgogne germanique, in Mémoires de naturalistes (Cavalier Bleu, Espèces, 2018), p. 143-151

[24] Wikipédia, Ferenc Nopcsa (fr)

[25] Emily Osterloff, Franz Nopcsa: the dashing baron who discovered dwarf dinosaurs (Natural History Museum)

[26] Emily Osterloff, Ibid

[27] Wikipédia, Ferenc Nopcsa (fr)

[28] Eric Buffetaut, L’amateur, le stégosaure et le baron magyar, in Chercheurs de dinosaures en Normandie (YSEC, 2011), p.79-91

[29] Eric Buffetaut, Chercheurs de dinosaures en Normandie (YSEC, 2011), p. 56

[30] Yves Lepage, Eric Buffetaut & Gilles Lepage, The first photographs of a dinosaur excavation in Europe: Emile Savalle and the stegosaur from Octeville (Normandy, 1898) (Colligo, 2018)

[31] Noé Ciscki, Connaissez-vous les iguanodons de Bernissart ? (2023)

[32] Gustave Lennier, Petit guige illustré du visiteur (1904)

[33] Eric Buffetaut, Chercheurs de dinosaures en Normandie (YSEC, 2011), p. 87

[34]  Noé Ciscki, Connaissez-vous les iguanodons de Bernissart ? (2023)

[35] Wikipédia, Dacentrurus (en)

[36] Eric Buffetaut, Chercheurs de dinosaures en Normandie (YSEC, 2011), p. 90

[37] Wikipédia, Nopcsaspondylus (fr)

[38] Wikipédia, Lotosaurus (fr)

[39] Wikipédia, Lycosuchidae (fr)

[40] Tim Flannery, Ibid, p. 38

[41] Tim Flannery, Ibid, p. 38

[42] Le baron Nopsca, espion, pirate des airs, et père de la paléobiologie (Futura)

[43] Wikipédia, Franz Nopcsa von Felső-Szilvás (en)

[44] Vanessa Veselka, History Forgot This Rogue Aristocrat Who Discovered Dinosaurs and Died Penniless (Smithsonian Magazine, 2016)

[45] Vanessa Veselka, Ibid

[46] Vanessa Veselka, Ibid

[47] DODA: The Life and Adventures of Franz Baron Nopcsa (Visar Vishka, 2016)

Laisser un commentaire